L’é itoù trouoù l’eunterruteue pe tsandzì de lènva…
Can eun cougnii amodo doe lènve bièn diféènte eunna de l’atra, comme pe ezeumplo l’angllé é lo djaponèi, comèn pou-tì la capasitoù de coumprènsoùn passì de eunna a l’atra sènsa tan de complecasoùn?
Caque savèn de l’Universitoù de Londra se soun pouzoù la quesquoùn : pe savèi-se baillì eunna ripounsa l’an avétchoù avouì attènsoùn queun l’ie lo compourtemàn de l’attivitoù sélébrala d’eun pèe de personne voulountée eun trèn de liye: so l’é itoù fi avouì lo control d’eun R. M. (resonanse magnéteucca pe imardze).
Sise dzi l’ian complètemàn bilèngue: catchoueun sayè prédzì amodo l’allemàn é l’angllé, d’atre prédzaoun djaponèi é angllé.
L’é itoù remarcoù que, di ten que l’ian eun trèn de liye dou mot di mimo sans deun doe lènve diféènte, la partia di servalle que lai dioun «gnaou gotsì avouì la queuvva» travaillâ bièn de pi de can vegnaoun liet dou mot sèmblablo deun la mima lènva.
É sarie fran deun si caro de servalle, seloùn le retsertseur angllé, que se trouerie l’eunterruteue que permé lo passadzo otomateucco d’eunna lènva a l’atra.
Détsardjì lo teste
On a trouvé l’« interrupteur » pour changer de langue…
Lorsque l’on connaît bien deux langues totalement différentes l’une de l’autre, comme, par exemple, l’anglais et le japonais, comment le cerveau peut-il passer de l’une à l’autre sans problèmes ?
Quelques savants de l’Université de Londres se sont posés la question et, pour y répondre, ils ont observé l’activité cérébrale d’un groupe de volontaires en phase de lecture, par le biais d’une résonance magnétique pour images (IRM).
Les personnes, entièrement bilingues, étaient capables de parler couramment l’allemand et l’anglais ou bien le japonais et l’anglais.
Pendant qu’elles lisaient deux mots du même sens en deux langues différentes, on a remarqué que la région de leur cerveau appelée « noyau caudé gaucher » était beaucoup plus active que lorsqu’elles lisaient deux mots semblables dans la même langue.
Selon les chercheurs anglais, en effet, c’est justement dans cette zone que se trouverait l’«interrupteur» qui permet de passer automatiquement d’une langue à l’autre.
Tiré de : www.focus.it, juillet 2008
On a trouvé l’« interrupteur » pour changer de langue…
Lorsque l’on connaît bien deux langues totalement différentes l’une de l’autre, comme, par exemple, l’anglais et le japonais, comment le cerveau peut-il passer de l’une à l’autre sans problèmes ?
Quelques savants de l’Université de Londres se sont posés la question et, pour y répondre, ils ont observé l’activité cérébrale d’un groupe de volontaires en phase de lecture, par le biais d’une résonance magnétique pour images (IRM).
Les personnes, entièrement bilingues, étaient capables de parler couramment l’allemand et l’anglais ou bien le japonais et l’anglais.
Pendant qu’elles lisaient deux mots du même sens en deux langues différentes, on a remarqué que la région de leur cerveau appelée « noyau caudé gaucher » était beaucoup plus active que lorsqu’elles lisaient deux mots semblables dans la même langue.
Selon les chercheurs anglais, en effet, c’est justement dans cette zone que se trouverait l’«interrupteur» qui permet de passer automatiquement d’une langue à l’autre.
Tiré de : www.focus.it, juillet 2008