THÉRIVEL Adolphe
Saint-Christophe 1899 - 1978
Il dut quitter très jeune sa patrie pour se rendre à l'étranger, mais il resta très attaché à la Vallée d'Aoste, pour laquelle il rêvait l'indépendance et la prospérité.
Dès qu'il le put, il rentra chez lui, à Senin, où il se dédia à l'agriculture avec un esprit d'innovation.
La plupart de ses poésies, en patois et en français, sont dictées par son amour du pays, le regret des bonnes traditions qui disparaissent, la haine pour les mépris contre sa vallée, l'attachement à la « terre ».