Eun élévadzo de verse
N’a catcheun que le verse le meundzon, n’a d’atre que l’eumplèyon pe atteryì le pèisón, d’atre euncoa l’amerian le-z-allevì pe le fée travaillì...
An éffé, le verse servon euncoa pe trasformì eun dreudze lo scaa di noutre meundzì. L’idì di vermicompost l’è pa novalla, l’è retournaye de moda eun Amérique é l’è eun tren de resèivre eun discré sussè de pebleuque.
Pe ézeumplo, eun Californie, n’a de personne que le pourtoun a l’oufficho, cllou dedeun eun pégno sedzeleun é lèi baillon a meundzì lo reste de maenda : le croute de pan, doe foille de salada, le plimme di pomme.
Avouì lo ten, le-z-immondise se trasfourmon eun dreudze a pourtì pe lo courtì ou beuttì dedeun le vaze di fleue a mèizón. L’è eun vantadzo pe l’amministrasón comunala que dèi pa se tracassì de reteryì lo scaa é lo tratì.
Prèi de : www.focus.it
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L’élevage des vers
Certains les mangent, les vers, d’autres les emploient comme appât pour les poissons, d’autres encore aimeraient bien les élever pour les faire travailler… En effet, les vers sont à même de réduire en fumier la portion humide de nos ordures. L’idée du vermicompost n’est pas nouvelle, mais elle est récemment revenue à la mode en Amérique et il paraît qu’elle est en train de rencontrer la faveur du public.
En Californie, par exemple, il y a des personnes qui portent les vers (renfermés dans un petit seau) au bureau où elles leur donnent à manger les restes du déjeuner : la croûte de pain, deux feuilles de salade, la peau de la pomme… Avec le temps, les ordures se transforment en fumier à renverser dans le jardin ou dans les pots à fleurs à la maison, pour une épargne considérable de la commune, qui ne doit plus retirer la portion humide et la traiter.
À vous d’essayer…
Tiré de : www.focus.it
L’élevage des vers
Certains les mangent, les vers, d’autres les emploient comme appât pour les poissons, d’autres encore aimeraient bien les élever pour les faire travailler… En effet, les vers sont à même de réduire en fumier la portion humide de nos ordures. L’idée du vermicompost n’est pas nouvelle, mais elle est récemment revenue à la mode en Amérique et il paraît qu’elle est en train de rencontrer la faveur du public.
En Californie, par exemple, il y a des personnes qui portent les vers (renfermés dans un petit seau) au bureau où elles leur donnent à manger les restes du déjeuner : la croûte de pain, deux feuilles de salade, la peau de la pomme… Avec le temps, les ordures se transforment en fumier à renverser dans le jardin ou dans les pots à fleurs à la maison, pour une épargne considérable de la commune, qui ne doit plus retirer la portion humide et la traiter.
À vous d’essayer…
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